Les jeunes sont nombreux aujourd’hui à souhaiter faire une carrière musicale, et ce, malgré la désapprobation de leurs parents. En effet, c’est non sans risque que de s’engager dans cette voie. Selon les statistiques, les cas d’échec sont plus nombreux que ce que l’on croit. Néanmoins, il existe bel et bien des personnes qui réussissent à vivre de leur art. Pourquoi ne serait-ce pas votre cas ?

Faire preuve de patience

Mais attention, pour vivre de la musique, il faut ne pas se décourager à la première embuche. La route vers le succès est périlleuse et peut parfois durer quelques années. Il ne faut pas se laisser abatte parce que l’on a vécu un premier échec. Raison pour laquelle, seules les véritables passionner réussissent.
Bien évidemment, suivre des cours d’art serait un atout. Mais ce n’est pas obligatoire. La musique est surtout une question de sentiment et de prestance, ainsi que d’expérience. Un passage dans une chorale, une participation dans une petite production : tout est bon à prendre. Non seulement cela optimisera vos connaissances, mais vous pourriez également profiter d’une meilleure visibilité sur le marché.

Oser

Pour être un artiste à part entière : il faut savoir oser. Sachez que la plupart des musiciens qui s’inscrivent aujourd’hui dans le top 10 ont commencé par exemple dans les scènes micro ouvertes. Et pour ce faire, encore faudrait-il laisser sa timidité de côté. Cela vous servira également pendant les auditions.
En outre, il existe tellement d’artistes de nos jours que pour que le public vous suive, vous devez être différent. Mais attention, il ne faut pas créer le buzz comme Lady Gaga ou faire parler de vous sur les tabloïdes. Ce sont de bonnes astuces pour commencer, mais l’image sera difficile à tenir. Et d’ailleurs, ce genre de personnage, pour la plupart, se fait assez vite oublier.
Quand on parle d’oser l’extravagance, il est question de trouver un concept que le public pourra facilement accueillir, mais qui vous différencie des autres talents. Ce sera généralement aux producteurs de le trouver. D’où l’importance d’en trouver un rapidement.

Mais, c’est quoi une table de mixage ?

La table de mixage est, comme son nom l’indique, un appareil permettant de mixer plusieurs sources sonores dans une même machine. Pour faire simple, elle regroupe toutes les entrées [micro, ordinateurs, clavier, batterie, guitares…] vers une seule sortie et de les régler de manière indépendante. Chaque matériel ne produit pas la même tension. La table de mixage sert à convertir tous les signaux au niveau ligne. Pour que cela soit possible, la table de mixage met à disposition plusieurs sections à l’exemple du réglage de volume, de l’égaliseur, du panoramique et de l’insertion d’effet. Chacune de ces tranches correspond à une source particulière. La maîtrise parfaite de la manipulation de la table de mixage passe donc par la maîtrise du fonctionnement de ces sections.

Comment l’utiliser ?

Certes, chaque table de mixage renferme des détails techniques qui peuvent effrayer un utilisateur novice. Cependant, en se référant au manuel d’utilisation, il est facile de s’en sortir. Avant d’utiliser une table de mixage, il faut connecter tous les instruments.
Suivant le modèle et la marque, le nombre d’entrées sur la table est variable. Il y a celles avec 4, 16, 32 et 64 canaux. Pour brancher une source en stéréo, il faut 2 entrées. Pour la batterie, on utilise plusieurs canaux pour régler d’une manière indépendante le son des différents éléments comme la grosse caisse, le charleston et la caisse claire. Une fois que les instruments sont branchés sur chaque entrée, il est désormais possible d’effectuer leur réglage individuel.
Par la suite, il convient de connecter les sorties à des enceintes de studio. Un simple casque audio peut suffire pour profiter d’une écoute discrète. Un modulomètre permet de visualiser le volume de sortie. On retrouve sur certains modèles de tables de mixage des sorties séparées pour les monitors et pour le master.
Ensuite, on active les canaux de la table de mixage grâce au bouton mute. Quand le bouton est désactivé, aucun son ne sort de ce canal. Ainsi, avant de commencer, il faut s’assurer que le mute est désactivé sur les entrées à utiliser. Il faut aussi activer l’alimentation fantôme. Cette dernière fonction est utile dans les studios d’enregistrement. Elle permet d’envoyer de l’électricité aux appareils qui en ont besoin à l’instar des microphones statiques.
On passe maintenant par le réglage des volumes. Cette opération peut être réalisée par des potentiomètres. Avec les tables de mixage numérique, il est désormais possible d’opter pour le contrôle numérique. Il faut aussi régler les graves et les aigus avec les potards graves, médiums et aigus pour chacun des canaux.
Enfin, il suffit d’incorporer les effets. On retrouve sur la table de mixage des auxiliaires qui sont des entrées et des sorties permettant d’envoyer des effets. On peut envoyer une réverb, un phasing ou un delay.

Comment choisir une table de mixage ?

Pour s’initier aux tables de mixage, vous pouvez en acquérir une d’occasion ou bien vous procurer une table de mixage neuve. Quel que soit votre choix, vous devez d’abord décider si vous voulez une table de mixage numérique ou analogique, il devient difficile de choisir surtout si c’est la première fois qu’on en achète une. Cependant, les professionnels ont retenu quelques critères à prendre en considération.
En premier lieu, il y a l’utilisation. Pour une utilisation de type discothèque, un modèle avec beaucoup d’entrées est recommandé. De cette façon, il sera facile de réaliser les branchements ainsi que les réglages. En revanche, si l’utilisation de la table est axée sur le scratching, l’idéal c’est d’opter pour un modèle offrant un accès rapide aux contrôles favoris.
Ensuite viennent la solidité et l’espace des boutons. Dans la pratique, on privilégie les tables compactes et robustes. Ces qualités facilitent la manipulation des boutons. Par contre, si les boutons sont trop serrés, l’utilisateur aura du mal à manier l’appareil. De préférence, les doigts doivent pouvoir se glisser aisément à travers la table. Pour le savoir, rien ne remplace l’essai en magasin.
Enfin, il faut également prendre en compte les réglages. Outre les réglages basiques de volume et d’égalisation disponible sur chaque piste, la présence de bouton en surplus comme le fader et les effets sont utiles.

Partir de vos émotions

Autrement dit, impossible d’écrire une chanson gaie si vous êtes mélancolique ou si vous avez des coups de blues. Les paroles de chansons partent la plupart du temps d’une histoire vécue, d’un phénomène qui se passe autour de vous et qui vous anime. C’est pourquoi les paroles de chansons sont fidèles aux émotions. Et lorsque vous les libérez, les paroles sont intenses, vraies et vivantes. Vous ne vous interrogez plus si vous avez de l’inspiration ou pas, les mots coulent librement, trouvent leur place pour former finalement des phrases et des couplets.

Ajustez les mots avec le rythme de la mélodie

Les paroles de chansons ne sont pas seulement faites pour lues, mais pour être chantées, c’est pourquoi il faut de la mélodie à la base. En connaissant le rythme et le style, vous pourrez ajuster le contenu des paroles pour être en accord avec l’instrumental. Il faut que les mots soient bien articulés, pensez à trouver des synonymes si par exemple, vous êtes en difficulté de prononcer un mot à trois syllabes alors que le rythme du son est assez rapide.

Le refrain pour faire passer le message et le couplet pour les détails

En outre, le refrain doit être court, facile à mémoriser et contenir le vrai message que vous souhaiteriez partager dans une parole de chanson. Il faut donc que le refrain soit focalisé sur le vrai cœur du sujet. Certains compositeurs aiment jouer sur les rimes, les répétitions ou encore les cadences pour créer un refrain facile à saisir. Si l’on comparait les paroles de chansons à une dissertation littéraire, les couplets seraient les parties du développement et le refrain, le résumé.

Un bon sevrage de musique

Quitte à faire une overdose de musique, écoutez de tout et de rien, sans prioriser vos goûts et vos styles. L’idée est de prendre conscience de toutes les subtilités que l’on peut jouer sur le son et d’en voir toutes les couleurs et les déclinaisons possibles. Ainsi, vous commencez à interpréter et cela tombe bien, car c’est à partir de l’interprétation qu’on trouve de l’inspiration.

Retrouvez le calme

Pour trouver de l’inspiration et développer votre créativité, vous devez retrouver le calme et la tranquillité, en cherchant un endroit paisible pour pouvoir méditer. Ainsi en retrouvant la paix, vous pourrez vous concentrer sur votre être, toucher la sensibilité de votre âme, caresser vos émotions et puiser dans votre subconscient pour y puiser une bonne dose d’inspiration.

Jouez de la musique

Ne calez pas sur le fait que vous ne trouvez pas de l’inspiration, car cela envenimera la situation. Au contraire, le laisser aller peut apporter ses fruits, posez vos mains sur le clavier pour pianoter un peu, grattez un peu la guitare et essayez de mélanger des rythmes pour voir ce que ça donne. Souvenez-vous, Rome ne s’est pas construite en un jour, c’est en allant de fil en aiguille et en s’engageant dans le travail de la composition que aurez en retour les résultats que vous escomptiez.

Débutez par la base

Avec des logiciels de composition, vous pourrez trouver un instrumental de base que vous pourrez recomposer, enrichir ou mixer à votre convenance pour produire une musique à part entière. Autre méthode, commencez par les beats de la batterie et enrichissez petit à petit votre composition musicale avec d’autres sons acoustiques de votre choix

Les différents types de voix féminines

Selon la tessiture vocale d’une femme, on peut distinguer différents types de voix féminines : le soprano, le mezzo-soprano et l’alto. Sur un classement au niveau de l’octave, le soprano est une voix extrêmement aiguë, le mezzo-soprano se situe au niveau moyen, le contralto et l’alto correspondent respectivement à une voix creuse et à une voix très basse. Sur ces quatre niveaux de tessitures, on peut encore distinguer des nuances que les chanteurs lyriques connaissent très bien. En effet, en commençant de la voix fortement aiguë et en descendant progressivement vers la voix basse, on peut distinguer, le soprano colorature, le soprano léger, le soprano lyrique, le soprano lirico-spinto, le soprano dramatique, le mezzo-soprano colorature, le mezzo-soprano lyrique, le mezzo-soprano dramatique, le contralto et l’alto. Chaque niveau de tessiture vocale a sa propre puissance, ce qui définit la percussion de la voix.

Les différents types de voix masculines

De même que les voix féminines, on peut classifier les voix masculines comme ceci, du son aigu au son grave : le ténor, le baryton, la basse. Le ténor est une voix portante comme celle de Luciano Pavarotti, le baryton correspond à la voix parlée tandis que la voix basse est employée surtout dans la musique slave. On peut affiner les nuances en distinguant, le ténor léger, le ténor lyrique, le ténor dramatique, le ténor dramatique héroïque, le baryton lyrique, le baryton dramatique, le baryton-basse, la basse bouffe, la basse chantante et enfin, la basse profonde.

Les bases académiques

L’enseignement académique est une base théorique que le prof de chant doit avoir acquise pour prétendre maîtriser toutes les techniques vocales. Malheureusement, certains d’entre eux apprennent sur le tas et pensent pouvoir coacher un élève après avoir trouvé quelques recettes qu’il qualifie être efficaces. Si vous souhaitez vraiment progresser en musique, choisissez les vrais professionnels qui sortent des conservatoires ou des écoles de musique agréées par l’Etat.

L’orientation musicale

Le bon coach vocal ou prof de chant a un certain niveau de sensibilité artistique qui le permet de vous orienter rapidement vers le genre de musique qui convient parfaitement avec votre style vocal. Grâce à son oreille musicale, il peut dire si vous êtes fait pour faire de la musique classique, de l’électronique ou encore du pop rien qu’en vous écoutant chanter une première fois.

Un bon planificateur

Autrement dit, l’absence de projet ne mène nulle part. Dès le premier contact, un prof de chant doit vous détailler le programme de formation, doit vous planifier les étapes que vous devrez franchir pour acquérir un certain niveau de maîtrise, le tout sous forme d’un projet pédagogique. Si le prof de chant n’a aucun planning à vous proposer, demandez-vous si vous aurez atteint votre but en travaillant avec lui.

Les étapes à gravir pour une carrière réussie

Nombreux sont ceux qui veulent faire carrière dans le monde musical. Pourtant il ne suffit pas de bien jouer ou de bien chanter pour se lancer dans cette grande aventure. Pour ce faire, commencez par trouver votre instrument. Choisissez l’instrument de musique qui vous correspond le mieux. Trouvez un bon professeur et apprenez à maîtriser votre instrument de musique. Faites des répétitions et des entraînements. Jouez avec passion et commencez à écrire votre propre composition. Montez un groupe si vous avez un groupe d’amis. Le travail collectif mène rapidement vers la réussite. N’ayez pas peur du public. Un artiste doit affronter sa peur et doit jouer pour ses spectateurs. Fixez vous des objectifs et essayez d’animer au début des petites fêtes pour se faire connaître dans le domaine.

Les grands principes du métier

Une fois la maîtrise de la musique acquise et la présence scénique améliorée, vous êtes prêt à devenir professionnel. Faites des investissements et achetez des matériels de qualité (sonorisation). Vous pouvez obtenir ici les meilleurs équipements sonores de grande qualité à prix réduit. Une fois votre carrière lancée, veillez à protéger vos droits sur vos œuvres. En effet, les musiques et les partitions produites devront faire l’objet de protection légale. C’est ce qui fait que vous êtes vraiment un artiste. Saisissez toutes les opportunités qui se présentent devant votre porte. Il n’y a pas de grand ou de mauvais contrat, vous devez accepter les offres qui se présentent même s’il s’agit de fête d’anniversaire ou d’enterrement de vie de célibataire. Ce n’est pas facile de devenir un grand musicien connu, mais avec ces quelques conseils, vous savez au moins ce qui vous reste à faire.

Comment trouver du partenariat ?

Il appartient au producteur, au manager de trouver les chanteurs ou inversement. Tout est possible dans le monde de la musique. Pour démarrer votre carrière, il faut savoir grimper les échelons. D’un côté, vous pouvez commencer à travailler avec un nouveau chanteur. Ainsi, vous feriez les premiers pas dans le monde musical ensemble. Vous vous occuperez de la gestion de sa carrière, y compris le démarrage. Vous avancez ensemble vers le succès. Ceci peut demander du temps, mais l’attente en vaut la peine. De l’autre côté, vous pouvez postuler dans une maison de production ou de disque déjà existante et même réputée. Il est possible de commencer par un stage ou un poste d’assistant. Avec de la persévérance et de la patience, vous deviendrez un jour le chef de production ou le manager en personne. La commercialisation est, en outre, un domaine très rentable dans le monde de la musique. Vous pouvez effectuer de la vente directe ou indirecte, pour essayer de commercialiser le maximum de disques possibles. La vente sur Internet est la forme de vente la plus réputée de nos jours.

Et si vous décidez de monter votre propre groupe ?

Si vous avez un talent pour la musique, vous pouvez songer à monter votre propre groupe. Vous pouvez exploiter votre voix ou vos mains pour jouer un instrument. Sachez qu’il peut être plus facile de réussir en groupe que seul. Vous pouvez sortir votre premier album avec une dizaine de titres. Il faut, par contre, compiler un répertoire d’environ 45 chansons avant de pouvoir monter sur une petite scène. Commencez par proposer un petit spectacle live gratuit dans un club ou un restaurant.

La sensation

Ce premier critère est rarement mis en avant par ceux qui veulent se lancer dans la musique. Pourtant, il s’agit d’un élément capital à prendre en compte. La sensation procurée par un solo de guitare n’est en rien comparable à celle offerte par une partition au piano. Pour choisir correctement votre premier instrument, pensez à vous projeter en train d’en jouer. Si nécessaire, n’hésitez pas à vous rendre dans un magasin spécialisé. La guitare nécessite par exemple un bon doigté et la nécessité d’accorder régulièrement ses cordes. Le piano de son côté reste un instrument sédentaire qui réclame davantage d’effort d’entretien et de nettoyage. Le violon quant à lui est centré sur les sensations de vibration du son puisque vous ne touchez pas directement les cordes.

Le style

Il est question ici du style de son produit par l’instrument. Pour connaitre celui qui vous convient le mieux, il vous suffit d’écouter de la musique instrumentale. Vibrez-vous davantage au son de la harpe ou du saxophone ? Ou bien, le chant d’une guitare vous donne-t-il plus de frissons ? Cette proximité vous aidera d’ailleurs à mieux comprendre votre instrument. Avec l’expérience, vous pourrez repérer aisément les différences de fréquences, de tonalité. Vous aurez également une meilleure capacité de création. À noter que vous pouvez également choisir le style de votre instrument en fonction de vos goûts musicaux. Si vous êtes un adepte du concerto par exemple, la guitare ne semble pas être votre instrument idéal. De même si vous êtes un amateur de jazz, le saxophone reste un choix plus pertinent qu’une flûte ou un piano.

Le prix

Il est difficile de parler du choix d’un instrument sans évoquer le côté financier de la question. Si vous voulez apprendre à jouer de la contrebasse par exemple, vous aurez besoin d’un budget de 1 000 euros au minimum. Pour une harpe ou un saxophone, le prix moyen est de 250 euros pour un modèle d’occasion. Prenez aussi en compte le coût d’entretien de votre instrument. Un jeu de corde pour violon coûte par exemple entre 30 à 60 euros. Cependant, si vous êtes réellement passionné, le prix ne doit pas devenir un obstacle. Il doit rester un simple critère.